accu vs. batterie

French translation: http://www.ni-cd.net/accusphp/accueil/baba/index.php

07:12 Sep 15, 2004
French language (monolingual) [PRO]
Tech/Engineering - Electronics / Elect Eng
French term or phrase: accu vs. batterie
La différence entre accu et batterie est claire :-)... mais:
1) je trouve x occurrences pour "batterie au polymère de lithium" et "accu aux ions de lithium". Mais mon texte d'origine (alld) emploi "Akku" (donc accu) dans les 2 cas. Or, je ne trouve aucun exemple pour "accu au polymère de lithium". Je ne peux quand même pas remplacer "accu" par "batterie"... ou si??

Merci d'éclairer ma lanterne (sans accu).
Claire Bourneton-Gerlach
Germany
Local time: 10:16
Selected answer:http://www.ni-cd.net/accusphp/accueil/baba/index.php
Explanation:
La terminologie : Piles, accumulateurs et batteries.

Une pile est un élément non rechargeable.
Contrairement à la langue anglaise qui n'a qu'un seul mot " battery " pour englober les éléments rechargeables et non rechargeables, la langue française fait la distinction.
Pour des éléments rechargeables on utilise les termes d'accumulateurs (même si ils ressemblent à des piles) et de batteries. " Accumulateur " désigne plutôt un élément seul.
" Batterie " désignera un groupe d'éléments assemblés constituant une " batterie d'accumulateurs ".
Dans votre voiture vous avez une batterie 12V qui est en fait constituée de 6 accumulateurs au plomb de 2V chacun.
Dans le texte pour désigner les accumulateurs, j'utiliserai indifféremment les termes d'accumulateur ou d'élément, sous entendu " élément accumulateur ". Ça évitera les répétitions…
Quand je parlerai de batterie ce sera pour un ensemble d'accumulateurs.









Les termes "batterie" et "accumulateur" (je dirai souvent "accus") désignent donc des (petits) réservoirs qui peuvent emmagasiner de l'énergie pour la restituer ultérieurement. L'énergie est stockée sous forme chimique. C'est la modification chimique d'un mélange appelé électrolyte qui permet d'accumuler ou de restituer cette énergie.

Il existe différents types de mélanges chimiques qui possèdent cette capacité d'accumuler et de restituer de l'énergie.

Les plus utilisés actuellement sont :

- Le Plomb (mélange plomb-acide ). Les batteries au plomb sont par exemple celles qui équipent nos chères voitures et qui donnent l'énergie nécessaire au démarrage.

- Le Nickel (mélange Nickel-Cadmium 'Ni-Cd' ou Nickel Hydrure-Métallique 'Ni-MH'). Les accus au nickel sont aujourd'hui les plus répandus dans tous les appareils transportables.

- Le Lithium (mélange Lithium-Ion 'Li-ion' ou Lithium-polymère 'Li-po'). C'est la dernière génération plus légère et plus chère. On retrouve les accus au lithium dans les téléphones portables haut de gamme et dans les PC portables.

- Une autre technologie plus marginale : les alcalines rechargeables.

Les batteries au plomb sont robustes et puissantes. Elle sont souvent utilisées dans les applications où le poids et le volume ne sont pas trop pénalisants ou quand il y a besoin d'une grande quantité d'énergie.

Les accus aux lithium sont très variés, très complexes et nécessitent systématiquement un chargeur spécialisé généralement fourni avec l'accu. Il ne faut pas jouer avec les accus au Lithium car il y a des risques d'explosion en cas d'erreur de charge. On peut se les faire " péter à la figure ".

Les accus à base de Nickel sont eux plus souples d'utilisation et permettent à chacun de s'en approprier la mise en oeuvre en fonction de son niveau de compétence. Ils sont très utilisés pour les outillages portatifs sans fil, les camescopes, les lecteurs audio divers, les GSM, les PC portables, dans le monde des radiomodélistes et bien sûr dans les Appareils Photo Numériques.



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Note added at 19 mins (2004-09-15 07:31:45 GMT)
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Accumulateurs, piles et batteries :F
des performances en constante amélioration




 


Les accumulateurs et les piles sont des systèmes électrochimiques servant à stocker de l\'énergie. Ceux-ci restituent sous forme d\'énergie électrique, exprimée en watt-heure (Wh), l\'énergie chimique générée par des réactions électrochimiques. Ces réactions sont activées au sein d\'une cellule élémentaire entre deux électrodes baignant dans un électrolyte lorsqu\'une résistance, un moteur électrique par exemple, est branchée à ses bornes. L\'accumulateur est basé sur un système électrochimique réversible. Il est rechargeable par opposition à une pile qui ne l\'est pas. Le terme batterie est alors utilisé pour caractériser un assemblage de cellules élémentaires (en général rechargeables).
Un accumulateur, quelle que soit la technologie utilisée, est pour l\'essentiel défini par trois grandeurs. Sa densité d\'énergie massique (ou volumique), en watt-heure par kilogramme, Wh/kg (ou en watt-heure par litre, Wh/l), correspond à la quantité d\'énergie stockée par unité de masse (ou de volume) d\'accumulateur. Sa densité de puissance massique, en watt par kilogramme (W/kg), représente la puissance (énergie électrique fournie par unité de temps) que peut délivrer l\'unité de masse d\'accumulateur. Sa cyclabilité, exprimée en nombre de cycles(1), caractérise la durée de vie de l\'accumulateur, c\'est-à-dire le nombre de fois où il peut restituer le même niveau d\'énergie après chaque nouvelle recharge.





Accumulateurs nickel-métal hydrure,
gamme \"très haute énergie\", pour l\'application
outillage portable.
Saft








Jusqu\'à la fin des années quatre-vingt, les deux principales technologies répandues sur le marché étaient les accumulateurs au plomb (pour le démarrage de véhicules, l\'alimentation de secours de centraux téléphoniques...) et les accumulateurs nickel-cadmium (outillage portable, jouets, éclairage de secours...). La technologie au plomb, connue plus communément sous le nom de batterie au plomb, est également qualifiée de système au plomb-acide. En effet, les réactions chimiques mises en jeu impliquent l\'oxyde de plomb constituant l\'électrode positive (improprement appelée cathode) et le plomb de l\'électrode négative (anode), toutes deux plongées dans une solution diluée d\'acide sulfurique qui constitue l\'électrolyte. Ces réactions tendent à convertir le plomb et l\'oxyde de plomb en sulfate de plomb, avec formation d\'eau. Pour recharger la batterie, ces réactions doivent être inversées par la circulation d\'un courant électrique imposé. Les inconvénients relevés sur la technologie au plomb (poids, fragilité, utilisation d\'un liquide corrosif) ont conduit au développement d\'accumulateurs alcalins, de plus grande capacité (quantité d\'électricité restituée à la décharge) mais développant une force électromotrice moindre (différence de potentiel aux bornes du système en circuit ouvert). Leurs électrodes sont soit à base de nickel et de cadmium (accumulateur nickel-cadmium), soit à base d\'oxyde de nickel et de zinc (accumulateur zinc-nickel), soit à base d\'oxyde d\'argent couplé à du zinc, du cadmium ou du fer (accumulateurs à l\'oxyde d\'argent). Toutes ces technologies utilisent une solution de potasse comme électrolyte. Les technologies au plomb, comme les accumulateurs alcalins, se caractérisent par une grande fiabilité, mais leurs densités d\'énergie massiques restent relativement faibles (30 Wh/kg pour le plomb, 50 Wh/kg pour le nickel-cadmium).


 




Gamme d\'accumulateurs lithium-ion offrant
un large éventail de performances comprises
entre haute énergie et haute puissance.
Saft/Le cocotier bleu








Au début des années quatre-vingt-dix, avec la croissance du marché des équipements portables, deux filières technologiques nouvelles ont émergé : les accumulateurs nickel-métal hydrure et les accumulateurs au lithium (voir l\'encadré, Principe de fonctionnement d\'un accumulateur au lithium). La première filière, mettant en jeu une électrode positive à base de nickel et une électrode négative constituée d\'un alliage absorbant l\'hydrogène plongeant dans une solution de potasse concentrée, a permis d\'atteindre une densité d\'énergie massique de 70 à 80 Wh/kg. La seconde filière avait déjà fait l\'objet de travaux vers la fin des années soixante-dix, dans la perspective de trouver des couples électrochimiques présentant de meilleures performances que les accumulateurs au plomb ou au nickel-cadmium employés jusque-là. Les premiers modèles ont ainsi été conçus avec une électrode négative à base de lithium métallique (filière lithium-métal). Cependant, cette technologie s\'est heurtée à des problèmes liés à une mauvaise reconstitution de l\'électrode négative de lithium au cours des charges successives. C\'est pourquoi, vers le début des années quatre-vingt, des recherches ont été entreprises sur un nouveau type d\'électrode négative à base de carbone, utilisé comme composé d\'insertion du lithium. La filière lithium-ion était née. Les industriels japonais se sont rapidement imposés en tant que leaders dans le domaine. Déjà fabricants d\'équipements portables, ils ont considéré la source d\'énergie comme faisant partie des composants stratégiques de ces équipements. C\'est ainsi que Sony, qui n\'était pas à l\'origine fabricant d\'accumulateurs, a décidé de mobiliser au cours des années quatre-vingt des ressources considérables afin de faire progresser la technologie et de la rendre industrialisable. En février 1992, Sony annonçait à la surprise générale le lancement immédiat de la fabrication industrielle d\'accumulateurs lithium-ion. Ces premiers accumulateurs offraient des performances limitées (90 Wh/kg). Depuis, celles-ci se sont notablement améliorées (140 à 160 Wh/kg en 2000), grâce d\'une part aux progrès technologiques réalisés (diminution de la part inutile dans le poids et le volume des accumulateurs) et d\'autre part à l\'optimisation des performances des matériaux. Des densités d\'énergie massiques de 190 à 200 Wh/kg sont escomptées vers 2003.
















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Note added at 19 mins (2004-09-15 07:32:41 GMT)
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Ref du texte c-dessus

http://www.cea.fr/fr/Publications/clefs44/fr-clefs44/clefs44...

HTH
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Michel A.
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5 +4http://www.ni-cd.net/accusphp/accueil/baba/index.php
Michel A.


  

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Explanation:
La terminologie : Piles, accumulateurs et batteries.

Une pile est un élément non rechargeable.
Contrairement à la langue anglaise qui n'a qu'un seul mot " battery " pour englober les éléments rechargeables et non rechargeables, la langue française fait la distinction.
Pour des éléments rechargeables on utilise les termes d'accumulateurs (même si ils ressemblent à des piles) et de batteries. " Accumulateur " désigne plutôt un élément seul.
" Batterie " désignera un groupe d'éléments assemblés constituant une " batterie d'accumulateurs ".
Dans votre voiture vous avez une batterie 12V qui est en fait constituée de 6 accumulateurs au plomb de 2V chacun.
Dans le texte pour désigner les accumulateurs, j'utiliserai indifféremment les termes d'accumulateur ou d'élément, sous entendu " élément accumulateur ". Ça évitera les répétitions…
Quand je parlerai de batterie ce sera pour un ensemble d'accumulateurs.









Les termes "batterie" et "accumulateur" (je dirai souvent "accus") désignent donc des (petits) réservoirs qui peuvent emmagasiner de l'énergie pour la restituer ultérieurement. L'énergie est stockée sous forme chimique. C'est la modification chimique d'un mélange appelé électrolyte qui permet d'accumuler ou de restituer cette énergie.

Il existe différents types de mélanges chimiques qui possèdent cette capacité d'accumuler et de restituer de l'énergie.

Les plus utilisés actuellement sont :

- Le Plomb (mélange plomb-acide ). Les batteries au plomb sont par exemple celles qui équipent nos chères voitures et qui donnent l'énergie nécessaire au démarrage.

- Le Nickel (mélange Nickel-Cadmium 'Ni-Cd' ou Nickel Hydrure-Métallique 'Ni-MH'). Les accus au nickel sont aujourd'hui les plus répandus dans tous les appareils transportables.

- Le Lithium (mélange Lithium-Ion 'Li-ion' ou Lithium-polymère 'Li-po'). C'est la dernière génération plus légère et plus chère. On retrouve les accus au lithium dans les téléphones portables haut de gamme et dans les PC portables.

- Une autre technologie plus marginale : les alcalines rechargeables.

Les batteries au plomb sont robustes et puissantes. Elle sont souvent utilisées dans les applications où le poids et le volume ne sont pas trop pénalisants ou quand il y a besoin d'une grande quantité d'énergie.

Les accus aux lithium sont très variés, très complexes et nécessitent systématiquement un chargeur spécialisé généralement fourni avec l'accu. Il ne faut pas jouer avec les accus au Lithium car il y a des risques d'explosion en cas d'erreur de charge. On peut se les faire " péter à la figure ".

Les accus à base de Nickel sont eux plus souples d'utilisation et permettent à chacun de s'en approprier la mise en oeuvre en fonction de son niveau de compétence. Ils sont très utilisés pour les outillages portatifs sans fil, les camescopes, les lecteurs audio divers, les GSM, les PC portables, dans le monde des radiomodélistes et bien sûr dans les Appareils Photo Numériques.



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Note added at 19 mins (2004-09-15 07:31:45 GMT)
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Accumulateurs, piles et batteries :F
des performances en constante amélioration




 


Les accumulateurs et les piles sont des systèmes électrochimiques servant à stocker de l\'énergie. Ceux-ci restituent sous forme d\'énergie électrique, exprimée en watt-heure (Wh), l\'énergie chimique générée par des réactions électrochimiques. Ces réactions sont activées au sein d\'une cellule élémentaire entre deux électrodes baignant dans un électrolyte lorsqu\'une résistance, un moteur électrique par exemple, est branchée à ses bornes. L\'accumulateur est basé sur un système électrochimique réversible. Il est rechargeable par opposition à une pile qui ne l\'est pas. Le terme batterie est alors utilisé pour caractériser un assemblage de cellules élémentaires (en général rechargeables).
Un accumulateur, quelle que soit la technologie utilisée, est pour l\'essentiel défini par trois grandeurs. Sa densité d\'énergie massique (ou volumique), en watt-heure par kilogramme, Wh/kg (ou en watt-heure par litre, Wh/l), correspond à la quantité d\'énergie stockée par unité de masse (ou de volume) d\'accumulateur. Sa densité de puissance massique, en watt par kilogramme (W/kg), représente la puissance (énergie électrique fournie par unité de temps) que peut délivrer l\'unité de masse d\'accumulateur. Sa cyclabilité, exprimée en nombre de cycles(1), caractérise la durée de vie de l\'accumulateur, c\'est-à-dire le nombre de fois où il peut restituer le même niveau d\'énergie après chaque nouvelle recharge.





Accumulateurs nickel-métal hydrure,
gamme \"très haute énergie\", pour l\'application
outillage portable.
Saft








Jusqu\'à la fin des années quatre-vingt, les deux principales technologies répandues sur le marché étaient les accumulateurs au plomb (pour le démarrage de véhicules, l\'alimentation de secours de centraux téléphoniques...) et les accumulateurs nickel-cadmium (outillage portable, jouets, éclairage de secours...). La technologie au plomb, connue plus communément sous le nom de batterie au plomb, est également qualifiée de système au plomb-acide. En effet, les réactions chimiques mises en jeu impliquent l\'oxyde de plomb constituant l\'électrode positive (improprement appelée cathode) et le plomb de l\'électrode négative (anode), toutes deux plongées dans une solution diluée d\'acide sulfurique qui constitue l\'électrolyte. Ces réactions tendent à convertir le plomb et l\'oxyde de plomb en sulfate de plomb, avec formation d\'eau. Pour recharger la batterie, ces réactions doivent être inversées par la circulation d\'un courant électrique imposé. Les inconvénients relevés sur la technologie au plomb (poids, fragilité, utilisation d\'un liquide corrosif) ont conduit au développement d\'accumulateurs alcalins, de plus grande capacité (quantité d\'électricité restituée à la décharge) mais développant une force électromotrice moindre (différence de potentiel aux bornes du système en circuit ouvert). Leurs électrodes sont soit à base de nickel et de cadmium (accumulateur nickel-cadmium), soit à base d\'oxyde de nickel et de zinc (accumulateur zinc-nickel), soit à base d\'oxyde d\'argent couplé à du zinc, du cadmium ou du fer (accumulateurs à l\'oxyde d\'argent). Toutes ces technologies utilisent une solution de potasse comme électrolyte. Les technologies au plomb, comme les accumulateurs alcalins, se caractérisent par une grande fiabilité, mais leurs densités d\'énergie massiques restent relativement faibles (30 Wh/kg pour le plomb, 50 Wh/kg pour le nickel-cadmium).


 




Gamme d\'accumulateurs lithium-ion offrant
un large éventail de performances comprises
entre haute énergie et haute puissance.
Saft/Le cocotier bleu








Au début des années quatre-vingt-dix, avec la croissance du marché des équipements portables, deux filières technologiques nouvelles ont émergé : les accumulateurs nickel-métal hydrure et les accumulateurs au lithium (voir l\'encadré, Principe de fonctionnement d\'un accumulateur au lithium). La première filière, mettant en jeu une électrode positive à base de nickel et une électrode négative constituée d\'un alliage absorbant l\'hydrogène plongeant dans une solution de potasse concentrée, a permis d\'atteindre une densité d\'énergie massique de 70 à 80 Wh/kg. La seconde filière avait déjà fait l\'objet de travaux vers la fin des années soixante-dix, dans la perspective de trouver des couples électrochimiques présentant de meilleures performances que les accumulateurs au plomb ou au nickel-cadmium employés jusque-là. Les premiers modèles ont ainsi été conçus avec une électrode négative à base de lithium métallique (filière lithium-métal). Cependant, cette technologie s\'est heurtée à des problèmes liés à une mauvaise reconstitution de l\'électrode négative de lithium au cours des charges successives. C\'est pourquoi, vers le début des années quatre-vingt, des recherches ont été entreprises sur un nouveau type d\'électrode négative à base de carbone, utilisé comme composé d\'insertion du lithium. La filière lithium-ion était née. Les industriels japonais se sont rapidement imposés en tant que leaders dans le domaine. Déjà fabricants d\'équipements portables, ils ont considéré la source d\'énergie comme faisant partie des composants stratégiques de ces équipements. C\'est ainsi que Sony, qui n\'était pas à l\'origine fabricant d\'accumulateurs, a décidé de mobiliser au cours des années quatre-vingt des ressources considérables afin de faire progresser la technologie et de la rendre industrialisable. En février 1992, Sony annonçait à la surprise générale le lancement immédiat de la fabrication industrielle d\'accumulateurs lithium-ion. Ces premiers accumulateurs offraient des performances limitées (90 Wh/kg). Depuis, celles-ci se sont notablement améliorées (140 à 160 Wh/kg en 2000), grâce d\'une part aux progrès technologiques réalisés (diminution de la part inutile dans le poids et le volume des accumulateurs) et d\'autre part à l\'optimisation des performances des matériaux. Des densités d\'énergie massiques de 190 à 200 Wh/kg sont escomptées vers 2003.
















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Ref du texte c-dessus

http://www.cea.fr/fr/Publications/clefs44/fr-clefs44/clefs44...

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Michel A.
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Peer comments on this answer (and responses from the answerer)
agree  hodierne: Merci Michel pour ces précisions très intéressantes
24 mins
  -> intéressantes faut rien exagérer, m'enfin faut bien vivre :-) bonne journée

agree  Agnès Levillayer: Mazette, voilà de quoi faire le plein d'énergie pour la journée...
25 mins
  -> Merci Agnès

agree  Thierry LOTTE: Très intéressant, en plus...
1 hr
  -> Merci Thierry

agree  Claudia Iglesias: Belle réponse :-)
4 hrs
  -> Merci Claudia
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